Restauration d'une Triumph Spitfire - Vol 10 : remontage

Ce dernier volume va (enfin) voir notre Triumph Spitfire retrouver le bitume. Mais avant cela, il va falloir remonter et reconnecter tout ce qu’on a défait des mois (ou comme ici des années) plus tôt. Pas toujours évident, d’où l’intérêt de prendre des photos lors du démontage. Cette longue période de remontage présente une particularité : elle semble souvent interminable, et à chaque nouvelle opération réalisée, on a le désagréable sentiment que le point final vient encore de reculer d’un cran : pas de panique, c’est normal. Ce phénomène connu porte un nom, l’impatiente ! Pourtant, il faut y accorder un très grand soin, car c’est autant de soucis que vous n’aurez pas une fois l’auto remise en route. Le redémarrage ! Première étape de la renaissance du véhicule. C’est toujours un moment chargé d’émotions, et après quelques balbutiements et un dernier petit réglage, le 1 500 cm3 est sorti de son sommeil. Mais ce n’est pas parce que le moteur tourne que le travail est terminé. Une fois les derniers éléments remontés et l’auto entièrement achevée, le déverminage, phase un peu usante mais ô combien nécessaire, vient encore reculer l’issue de la restauration. Dans notre cas, nous ne fûmes pas épargnés par les soucis, principalement électriques. Une bonne leçon qui permet de souligner l’importance de cette étape facilement “escamotable”, mais où la moindre négligence se paie sur la durée.
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Ce dernier volume va (enfin) voir notre Triumph Spitfire retrouver le bitume. Mais avant cela, il va falloir remonter et reconnecter tout ce qu’on a défait des mois (ou comme ici des années) plus tôt. Pas toujours évident, d’où l’intérêt de prendre des photos lors du démontage. Cette longue période de remontage présente une particularité : elle semble souvent interminable, et à chaque nouvelle opération réalisée, on a le désagréable sentiment que le point final vient encore de reculer d’un cran : pas de panique, c’est normal. Ce phénomène connu porte un nom, l’impatiente ! Pourtant, il faut y accorder un très grand soin, car c’est autant de soucis que vous n’aurez pas une fois l’auto remise en route. Le redémarrage ! Première étape de la renaissance du véhicule. C’est toujours un moment chargé d’émotions, et après quelques balbutiements et un dernier petit réglage, le 1 500 cm3 est sorti de son sommeil. Mais ce n’est pas parce que le moteur tourne que le travail est terminé. Une fois les derniers éléments remontés et l’auto entièrement achevée, le déverminage, phase un peu usante mais ô combien nécessaire, vient encore reculer l’issue de la restauration. Dans notre cas, nous ne fûmes pas épargnés par les soucis, principalement électriques. Une bonne leçon qui permet de souligner l’importance de cette étape facilement “escamotable”, mais où la moindre négligence se paie sur la durée.
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