Restauration d'une Triumph Spitfire - Vol 9 : montage moteur

Dans un volume précédent, nous avons ausculté le moteur pièce par pièce, mis de côté ce qui n’était pas réutilisable, rénové ce qui pouvait l’être. Et surtout, nous étions arrivés au “point de bascule” de la restauration, ce moment, trop bon, où le démontage s’achève et le remontage se profile. Les mauvaises surprises quant à l’état de l’auto sont derrière nous, et une sorte de “dernière ligne droite”, certes semée d’embûches, mais où l’on entrevoit déjà la lumière au bout du tunnel, s’ouvre désormais devant nous. Avec ce fascicule, c’est donc la seconde partie de la remise en état de la Spitfire qui débute : celle où les éléments commencent à s’emboîter. S’il est une phase où l’on doit être particulièrement méticuleux, c’est bien celle-là. Des derniers contrôles de jeux à l’accouplement moteur-boîte en passant par le montage des éléments annexes (allumeur, démarreur, radiateur…), aucune étape ne manque pour qu’au bout du compte, ce moteur puisse donner le meilleur de lui-même, et pour longtemps. Malgré toute l’impatience de le voir achevé, il ne faut surtout pas se précipiter et “bâcler” le travail. Cela pourrait remettre tout en cause. Prenez votre temps, si cela est nécessaire, faites-vous aider par des personnes compétentes. Et surtout, gardez bien à l’esprit que souvent, les opérations les plus délicates ne sont pas celles auxquelles on pense. De la patience, de la méticulosité, et le jour du premier coup de clé venu, tout devrait bien se passer. En attendant, avant de vous lancer, pensez à vérifier que vous avez bien toutes les pièces neuves requises. Ce serait dommage de se faire couper dans son élan.
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Dans un volume précédent, nous avons ausculté le moteur pièce par pièce, mis de côté ce qui n’était pas réutilisable, rénové ce qui pouvait l’être. Et surtout, nous étions arrivés au “point de bascule” de la restauration, ce moment, trop bon, où le démontage s’achève et le remontage se profile. Les mauvaises surprises quant à l’état de l’auto sont derrière nous, et une sorte de “dernière ligne droite”, certes semée d’embûches, mais où l’on entrevoit déjà la lumière au bout du tunnel, s’ouvre désormais devant nous. Avec ce fascicule, c’est donc la seconde partie de la remise en état de la Spitfire qui débute : celle où les éléments commencent à s’emboîter. S’il est une phase où l’on doit être particulièrement méticuleux, c’est bien celle-là. Des derniers contrôles de jeux à l’accouplement moteur-boîte en passant par le montage des éléments annexes (allumeur, démarreur, radiateur…), aucune étape ne manque pour qu’au bout du compte, ce moteur puisse donner le meilleur de lui-même, et pour longtemps. Malgré toute l’impatience de le voir achevé, il ne faut surtout pas se précipiter et “bâcler” le travail. Cela pourrait remettre tout en cause. Prenez votre temps, si cela est nécessaire, faites-vous aider par des personnes compétentes. Et surtout, gardez bien à l’esprit que souvent, les opérations les plus délicates ne sont pas celles auxquelles on pense. De la patience, de la méticulosité, et le jour du premier coup de clé venu, tout devrait bien se passer. En attendant, avant de vous lancer, pensez à vérifier que vous avez bien toutes les pièces neuves requises. Ce serait dommage de se faire couper dans son élan.
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