Fiat 500 (1957-1975)

Le moins qu’on puisse dire, c’est que les débuts de la Fiat 500 ont frisé le ratage total. Il faut dire que l’œuf de Giacosa, comme on la surnomme à son lancement en référence à sa forme, cumule les défauts aux yeux du public : elle est minuscule, n’a quasiment pas droit à la moindre décoration à l’exception de quelques chromes, et elle avance à la vitesse d’un escargot asthmatique. Elle va ainsi mettre près de quatre ans avant de satisfaire enfin les désirs d’une clientèle qui va, dès lors, la plébisciter, sa production finale approchant les 3 900 000 exemplaires, si l’on comptabilise les dérivés Autobianchi et Abarth. Sa disparition des chaînes en août 1975 n’a pas refroidi l’enthousiasme des amateurs, beaucoup d’italiens roulant encore au quotidien avec une Fiatou, se mêlant aux collectionneurs de tous poils qui en ont fait un véritable mythe. Année par année, la réédition de cet ouvrage paru initialement en 2000, analyse son évolution, avec numéros de série pour faciliter l’identification, s’intéresse aux accessoires, vous offre un guide pour traquer ses points faibles et éviter les pièges de sa restauration, vous indique des pistes pour la préparer à affronter les circuits, actualise le carnet d’entretien pour en tirer le meilleur parti et vous présente quelques-unes des miniatures les plus intéressantes à collectionner.
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Le moins qu’on puisse dire, c’est que les débuts de la Fiat 500 ont frisé le ratage total. Il faut dire que l’œuf de Giacosa, comme on la surnomme à son lancement en référence à sa forme, cumule les défauts aux yeux du public : elle est minuscule, n’a quasiment pas droit à la moindre décoration à l’exception de quelques chromes, et elle avance à la vitesse d’un escargot asthmatique. Elle va ainsi mettre près de quatre ans avant de satisfaire enfin les désirs d’une clientèle qui va, dès lors, la plébisciter, sa production finale approchant les 3 900 000 exemplaires, si l’on comptabilise les dérivés Autobianchi et Abarth. Sa disparition des chaînes en août 1975 n’a pas refroidi l’enthousiasme des amateurs, beaucoup d’italiens roulant encore au quotidien avec une Fiatou, se mêlant aux collectionneurs de tous poils qui en ont fait un véritable mythe. Année par année, la réédition de cet ouvrage paru initialement en 2000, analyse son évolution, avec numéros de série pour faciliter l’identification, s’intéresse aux accessoires, vous offre un guide pour traquer ses points faibles et éviter les pièges de sa restauration, vous indique des pistes pour la préparer à affronter les circuits, actualise le carnet d’entretien pour en tirer le meilleur parti et vous présente quelques-unes des miniatures les plus intéressantes à collectionner.
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